LA BATAİLLE DE NAVARIN (1827) ET VICTOR HUGO
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NAVARİN’DE OSMANLI DONANMASININ MÜTTEFİK DEVLETLER TARAFINDAN YAKILMASI  (1827) OLAYI KARŞISISNDA FRANSIZ EDİBİ VİCTOR HUGO’NUN TUTUTMU VE “NAVARİN”  BAŞLIKLI ŞİİRİ

 

Prof. Dr. Durmuş Yılmaz

 

Selçuk Üniversitesi-KONYA/TÜRKİYE

 

TÜRKÇE ÖZET

 

Osmanlı  tarihinde zaman zaman,özellikle 19. yüzyıl başlarında Balkanlarda başkaldırılar görülmüştür.  1821 tarihinde  Mora yarımadasında Yunan ayaklanması başladı. İngiltere, Fransa ve Rusya bu ayaklanmayı desteklediler. Osmanlı yönetimi Mısır Valisi Mehmet Ali Paşa’dan yardım istedi. Muharrem Bey kumandasındaki Mısır donanması İstanbul’a geldi.

 

            İngiliz amirali Cordington  kumandasındaki Avrupa müttefik donanması ani bir hücumla 20 Ekim 1827 tarihinde  Navarin  limanında demirli duran Osmanlı donanmasını yaktı. Avrupa bu olayı alkışladı. İngiliz şair Byron daha önce 1823 tarihinde Mora’ya gelmiş ve hastalanarak orada ölmüştü.   Fransız şair ve yazar V. Hugo 7 bölümden oluşan  Navarin başlıklı uzun şiirini yazdı.

 

 

 

ABSTRAC

 

DESTRUCTION OF OTTOMAN ARMADA IN NAVARIN

 

AND

 

« NAVARIN » POEM OF VICTOR HUGO

 

Prof. Dr. Durmuş Yılmaz

 

Selçuk University /KONYA -Turkey

 

 

            During Ottoman era, from time to time, uprisings  occured in Balkans in the begining of XIX. Century.

 

In 1821, grec uprising beganing in Mora peninsula. Britain, France and Russia supported this rebellion. Ottomans rulers asked help from Mehmet Ali Pasha, the governer of  Egypte.  Egypte fleet  came to Navarin  on the command  of Muharrem Bey as a gesture to Istanbul.

 

            The european common fleet, commanded by  Cordington,  suddenly attacket to Navarin, in 20 October 1827,  and burned up all ottoman ship in the harbor. Europe hailed this event at all. British poet Byron came to More (Greece) in 1823, to celebrate  the rebellion and French  poet and writer Victor Hugo wrote 7 parted poem based on Navarin attack.

 

 

 

 

 

LA BATAILLE NAVALE DE NAVARIN ENTRE LA FLOTTE  OTTOMANE  ET CELLES  D’ANGLO-FRANCO-RUSSE

 

ET

 

LE POEME INTİTULE  » NAVARIN »  DE  VICTOR HUGO, LE POETE  ET L’ECRIVAIN TRES CONNU FRANÇAIS

 

Prof. Dr. Durmuş Yılmaz

 

L’Université de Seldjouk-Konya/La Turquie

 

La Bataille de Navarin a été déroulé comme une bataille navale entre les flottes  Ottoman et celle de l’Egypte et celles de la coalition européennes. Grand Bretagne,La France,La Russie, le 20 Octobre 1827, dans la baie de Navarin de Grèce de l’ouest. Au début du siecle, c’est-a-dire, dans le 1 e quart du XIXe selce, dans la géographie du Balkan de l’empire ottoman  a été commencé  à voir de revolter contre Istanboul. D’abord dans la Serbie et puis dans la péninsule  de Morée, Grèce du sud et de l’ouest. (Voir: Karal,1988 : 118 ; Yılmaz,2001)

 

 

 

 

                  La Grece, au début du XIXe siecle( La Péninsule de Morée) 

 

 

La cause de la bataille       

 

La Russie et l’Autriche, en 1787,avaient attaqué l’empire ottoman. La guerre a continué laongtemps. Leur but final était le détruire et puis réanimer et réconstruire l’empire  byzantin. Cela s’est appellé “Projet de Grec”. (Karal,1988:109). Dans ces années à l’Europe et surtout  à l a France , on voyait le plus grands admirations pour la civilisation Grècque. Un peu plus tard, au but du XIX e siècle a été fondé une association secrête nommé “Etnic-Eteria” présidé Alexandre Ipsilanti, l’homme  très proche de Tchar de Russie. Les mouvements révolutionnaires  organisés par cette association ont été soutenus par les grands puissances  européens.

 

                La Convention de Londres (Le 6 Juillet 1827)

 

                La France, Le Grand Bretagne et La Russie devenaient le garanteur de l’autonomie grècque mais dans le cadre de l’empire ottoman. Les insurgés  grècques avaient accepté d’abord  cette situation politique en respectant l’armistice imposé  par les puissances européens. Mais Istanbou lavait refusé les propositions de cette convention. Car, les puissances européens auraient  entrepris par cette voie, dans les affaires interieurs de l’empire ottoman. La flotte ottoman  et celles de l’Egypte  s’étaient trouvés dans la baie de Navarin quand les artileurs britannics, français et ceux de Russie ont commencé à faire le feu sur l’armada ottoman, le 20 Octobre 1827.  Les troupes turcs ont desamparés. Car ils n’attendaient pas une attaque comme ça. Après la bataille, la defaite ottomane fut totale. La bataille navale de Navarin fut une étape décisive vers l’indépendance  de Grèce.(Karal,1988,Cevdet Paşa,1301; Yılmaz, 2001)

 

                İl ya beaucoup des documents, pour La bataille de Navrin, dans les archives publiques turques (Les archives Ottomanes  à Istanboul et dans divers archives turques). Dans ces documents, on lit que le Grand-Vizir informe les gouverneurs de certains vilayats comme Sivas, Erzurum, Van et il demande des aides d’alimentaires (BOA,HAT-0773/36217-A,D; BOA, HAT849/38071-C; BOA,HAT 1092/44317-A).

                Le Grand poète et ecrivain français Victor Hugo(1802-1885) a été fort interessé  et même  a soutenu cette bataille navale qui apportera  l’indépendance  aux grecques. Il a ecrit un long poème intitulé “NAVARIN” en novembre 1827. Il l’a metté dans son euvre LES ORIENTALES puplié en Paris 1829.

 

                NAVARIN contient 7 parts et 295 vers.

 

           

 

 

 

 

 

 

 

 

NAVARIN    I

 

Canaris!Canaris! pleure!cent vaisseau!

 

Pleure!Une flote entière!Où donc démon des eaux

 

Où donc était ta main hardie?

 

Se peut-il que sans toi l’ottoman succombât?

 

Pleure!comme Crillon exilé d’un combat

 

Tu manquais  à cet incendie!

 

 

Jusqu’ici quand parfoisla vague de tes mers

 

Soudain s’ensanglantait come un lac des enfers

 

D’une lueur large et profonde

 

Si quelque lourd navire éclatait à nos yeux

Couronné tout à coup d’une aigrette de feux

Comme un volcan s’ouvrant dans l’onde

 

Si la lame roulait turban, sabres courbés,

Voiles, tentes,croissants des mâts rompus tombés,

Vestiges des flottes et d’armée,

Pelisses de vizirs, sayons de matelots,

Rebuts stigmatisés de la flammes et des flots,

Blancs d’écumes  et noirs de fumée.

 

 

 

Si partait de ces mers d’Egine  ou d’Iolchos

 

Un bruit d’explosion,tonant dans mille echos

 

Et roulant au loin dans l’espace,

 

L’Europe se tournait vers le rouge Orient;

 

Et sur la poupe assis, le nocher souriant

 

Disait: “C’est Canaris qui passe!”

 

 

Jusqu’ici quand brulait au sein des flots fumants

 

Les capitans-pachas avec leurs armements,

 

Leur flottes dans l’ombre engourdie,

 

On te reconnaissait à ce terrible jeu;

 

Ton brulôt expliquant tous ces vaisseaux en feu;

 

Ta torche éclairait l’incendie!

 

 

Mais pleure aujourd’hui,pleure,on s’est battu sans toi!

 

Pourqoui sans Canaris sur ces flottes pourquoi

 

Porter la guerre et ses tempêtes?

 

Du Dieu qui gadre Hellé n’est-il plus le bras droit

 

On aurait dû l’attendre!Et n’est-il pas de droit

 

Convive de touts ces fêtes?

 

 

 

 

 

 

Dans la part ci-dessus Hugo raconte le déroulement de la bataille navale. Il donne une place suprême  aux insurgés grecques. Il déclare que l’ottoman succombera  après cette incendie. Car les flottes ottomans  et celles de l’Egypte  avaient été  brulé  par les flottes européennes.  A la vue de Hugo les flammes de navires  ottomans qui brulent, illuminent l’independance  des grecques.

 

 

NAVARIN     II

 

Console-toi! La Grèce est libre.

 

Entre les bourreaux, les mourants,

 

L’Europe a remis l’équilibre;

 

Console-toi plus de tyrans!

 

La France combat: Le sort change.

 

Souffre que sa main qui vous venge

 

De moins te dérobe en échange

 

Une feuille de ton laurier.

 

 

Grèce de Byron et d’Homère,

 

Toi Notre soeur, toi Notre mère

 

,Chantez! Si votre voix amère

 

Ne s’est pas éteinte à crier.

 

Pauvre Grece, qu’elle était belle

Pour être couchée au tombeau!

Chaque vizir, de la rebelle

S’arrachait un  sacré  lambeau

 

Ou la fable mit ses Ménades

 

Ou l’amour eut ses sérénades,

 

Grondaient les sombres canonades

 

Sapant les temples du vrai Dieu;

 

Le ciel de cette tere aimée

 

N’avait, sous sa voûte embaumée,

 

De nuages que la fumée

 

De toutes ses villes en feu.

 

Voila six ans qu’ils l’ont choisie!

 

Six ans qu’on voyait accourir

 

L’Afrique au secours de l’Asie

 

Contre un peuple  instruit  à  mourir!

 

Ibrahim que rien ne modère

 

Vole de l’Isthme au Belvedère

 

Comme un faucon qui n’a plus d’aire

 

Comme un loup qui règne au bercail;

 

Il court ou le butin le tente

 

Et lorsqu’il retourne  à sa tente,

Chaque fois sa main dégouttante

 

Jette des têtes  au sérail.

 

 

 Dans cette part ci- dessus, V. Hugo voit que la Grèce est libre et il éxplique  que l’Europe a remis l’équilibre. D’aurte part, Hugo admire pour la civilisation  grècque  et le pays de Byron et d’Homère. Car, le Grand poète  anglais  Byron  avait été arrivé jusqu’ au Morée  pour soutenir  les insurgés et puis avait y été mort. Hugo le salut  dans ce chapitre.

 

“Grèce de Byron et d’Homère

 

Toi Notre soeur, toi Notre mère…”

 

 

NAVARIN     III

 

Enfin! C’est Navarin, la ville aux maisons peintes

 

La ville aux dômes d’or, la blanche Navarin,

 

Sur la colline assise entre les térébinthes

 

Qui prête son beau  golfe aux ardents  étreintes

 

De deux flottes heurtant leurs carènes d’airain.

 

Les voila toutes deux! La mer est en chargée,

 

Prête  à noyer  leurs feux, prête à boire leur sang.

Chacune par son dieu semble au combat  rangée,

L’une s’étand en croix sur les flots allongées,

L’autra ouvre ses bras  lourds et se courbe en croissant.

Ici l’Europe: Enfin! L’Europe qu’on déchaine,

Avec ses grands vaisseaux voguant comme des tours.

 

L à, l’Egypte des Turcs, cette Asie Africaine,

Ces vivaces forbans, mal tués par Duquesne,

Qui mit en vain le pied sur ce nid de vautours.   

 

 

 

                Dans le  3 e chaitre ci-dessus, Hugo raconte le déroulement et le fin de la bataille. İl descrit Navarin:

 

“Navarin, la ville aux maisons peintes

 

La ville aux dômes d’or, la blanche Navarin..”

 

Dans la fin de cette bataille les turcs et egyptiens, tous, ont été vaincus par l’Europe enchainé.

 

 

 

u

 

 

 

 

NAVARIN        IV

 

Ecoutez! Le canon grondait,

 

Il est temps qu’on lui réponde

 

Le patient est le fort.

 

Eclatent donc les bordés!

 

Sur ces nefs intimides,

 

Frégates, jetez la mort!

 

Et qu’au souffle  de vos bouches

 

Fondent ces vaisseaux  farouches,

 

Broyés aux rochers  du port!

 

 

La bataille enfin s’allume.

 

Tout à la fois tonne et fume,

La mort vole ou nous frappons

L à tout brule pêle-mêle.

Ici, court le brûlot frêle

Qui jette aux mâts  ses crampons

Et comme un chacal dévore,

L’éléphant qwui lute encore,

Ronge un navire à trois ponts.

 

 

L’abordage! L’abordage!

 

On se suspend au cordage.

 

On s’élance des haubans.

 

La poupe heurte la proue.

 

La mêlée à dans sa roue.

Rameurs courbés sur leurs bancs

Fantassins cherchant la tere

L’épée et la ciméterre

Les casques et les turbans.

 

La vergue aux vergues s’attache;

La torche insulte à la hache;

Tout s’attaque en même temps.

Sur l’abîme la mort nage,

Epouventable carnage!

Champs de la bataille flottants

Qui, batus de cent volées,

S’écroulent sous les mêlées,

Avec tous leurs combattants.

 

 

Dans cette part, Hugo descrit la scene de la bataille. Les soldats, les épées dans la main guerroient couragement. Les soldats chrétiens aux casques et les soldats musulmans (Turcs)  aux  turbans. Tous courirent à la mort. Ils se mêlent sur la mer ensanglantée.

 

 

 

 

 

 

NAVARIN        V

Lutte horrible! Ah!  Quand l’homme  à l’étroit sur la tere,

Jusque sur l’Océan précipite la guerre,

Le sol tremble  sous lui, tandis qu’il se débat.

La mer la grande mer joue avec ses batailles.

Vainqueurs, vaincus, à tous elle ouvre ses entrailles.

Le naufrage éteint le combat.

 

O spectacle! Tandis que l’Afrique grondante

Bat nos puissants vaisseaux de sa flotte imprudente,

Qu’elle épuise à leurs flancs sa rage et ses efforts,

Chacun d’eux, géant fier, sur  ces hordes bruyants,

Ouvrant à temps égaux ses gueles foudroyantes,

Vomit tranquillement la mort de tous ses bords.

 

Tout s’embrasse: Voyez! L’eau de centre est semée

Le vent au mâts en flamme arrache la fumée,

Le feu sur les tillacs  s’abat en ponts mouvants.

Déjà  brûlent les nefs;  déjà sourde et profonde,

La flamme en leurs flancs noirs ouvre un passage à l’onde;

Déjà  sur les ailes des vents,

 

L’incendie, attaquant la frégate amirale, Déroule autour des mâts sont ardente spirale,

Prend les marins hurlants dans ses brûlants réseaux,

Couronne de ses jets la poupe inabordable

Triomphe, et jette au loin un reflet formidable,

Qui temble élargissantses cercles sur les eaux.

Dans cette part ci-desus, Hugo se met en scene  le déroulement de la bataille avec une génie poétique. Il image les soldats combattants sur la mer sous le ciel et les nuages allumeés par les flammes. Car les navires brulent et partout se découvert par le feu. C’est une lutte horrible!

 

                                                                       NAVARIN     VI

Où sont enfants du Caire,

 

Ces flottes qui naguérre

 

Emportaient  à la guerre

Leurs mille matelots?

Ces voiles où sont –elles,

 

Qu’armaient les infideles,

 

Et qui prêtaient leurs ailes A l’ongle des brulots?

 

 

Où sont tes mille entennes,

 

Et tes hunes hautaines,

 

Et tes fiers capitaines,

 

Armada du sultan?

 

Ta ruine commence,

 

Toi qui dans ta démance,

 

Battais les mers, immense

 

Comme Léviathan!

 

Le capitain qui tremble

Voit éclater ensemble

Ces chébecs que rassemble

Alger ou Tétuan.

Le feu vengeur embrasse

Son vaisseau dont la masse

Souleve quand il passe,

Le fond de l’océan.

 

 

Adieu la caravelle

Qu’une voile nouvelle

Aux yeux de loin révele;

Adieu le dogre ailé,

Le brick dont les amures,

Rendent de sourds murmures,

Come un amas d’armures

Par le vent ébranlé!

 

Adieu le brigantine,

Dont la voile latine,

Du flot qui se mutine,

Fend les vallons amers!

Adieu la balancelle,

Qui sur l’onde chancelle,

Et comme une étincelle

Luit sur l’azur des mers!

Sur les mers irritées

Dérivent,  démâtées

Nefs par la nefs heurtées,

Yachts aux mille couleurs,

Galeres capitanes,

Caiques et tartanes,

Qui portaient au Sultanes

 Des têtes et des fleurs.

Adieu, sloops intrépiedes,

Adieu, jongues rapides,

Qui sur les eaux limpides

Berçaient les icoglans!

Adieu la goelette

Dont la vague reflette

Le flamboyant squelette ,

Noir dans les feux sanglants!

 

Adieu la barcarolle,

Dont l’humble banderole

Autour des vaisseaux vole,

Et qui peureuse, fuit,

Quand du soufle des brises

Les frégates surprise

Gonflatns leurs voiles grises

Déferlent  à  Grand bruit!

Adieu lougres difformes,

Galéaces énormes,

Vaisseaux de toutes formes,

Vaisseaux de tous climats,

L’yole  aux triples flammes,

Les mahonnes, les prames,

La félouque à  six rames,

La polacre à deux mâts

 

Chaloupe canonnieres!

Et lanches marinieres,

Où flottaient les bannieres,

 

Du pacha souverain!

 

Bombardes que la houle,

 

Sur son front qui s’écroule,

 

Souleve, emporte et roule,

 

Avec un bruit d’airain!

 

Adieu, ces nefs bizarres,

Caraques et gabarres,

Qui de leurs cris barbares,

Troublaient Chypre et Délos!

Que sont donc devenus

Ces flottes tres connues?

La mer les jette aux nues,

Le ciel le rend aux flots!

 

 

İci aussi, Hugo raconte la fin de la bataille.  Les turcs sont vaincus.L’Europe est vainqueur.C’est  l’adieu du Sultan aux  teres de Morée, l’adieu  à Navarin, aux mers et aux İles de grecques (Peleponnese).

 

 

NAVARIN      VII

 

Silence! Tout est fait. Tout retombe  à l’abîme.

L’écume des hauts mâts a recouvert la cime

Des vaisseaux du Sultan les flots se sont joués,

Quelques-uns bricks rompus, prâmes désemparés

Comme l’algue des eaux qu’apportent les marées

Sur la grève noircie éxpirent échoués.

 

Ah!  c’est une victoire! Oui, l’Afrique défaite,

Le vrai Dieu sous ses pieds foulant le faux prophète

Les  tyrans, les bourreaux criant grâce  à leur tour

Ceux qui meurent  enfin sauvés par ceux qui règnent

Hellé lavant ses flancs qui saignent

Et six ans vengés dans un jour!

 

Depuis assez longtemps les peuples disaient:

“Gr èce!

Gr èce!  Grèce! Tu meurs. Pauvre peuple en détresse.

A l’horizon en feu chaque jour tu décrois.

En vain pour te sauver , patrie illustre et chère,

 

Nous réveillons  le prêtre endormi dans sa chaire,

 

En vain nous mendions une armée   à nos rois.

“Mais les rois restent sourds, les chaires sont muettes,

Ton nom m’échauffe ici que des coeurs des poetes,

A la gloire grecque à la vie on demande tes droits,

A la croix grecque, Hellé, ta valeur se confie.

C’est un peuple qu’on crucifie!

Qu’importe, hélas! Sur quelle croix!

 

Tes  Dieux s’en vont aussi! Parthénon, Propylées,

Murs de Grèce, assement des villes mutilées,

Vous devenez une arme aux mains des mécréants

Pour battre ses vaisseaux du haut des Dardanelles,

Chacun de vos débris, ruines solenelles,

Donne un bulet de marbre   à  leurs canons géants!”

 

Qu’on  change  cette plainte  en joyeuse  fanfare!

Une rumeur surgit  de l’Isthme  jusqu’au Phare.

Regardez ce ciel noir plus beau qu’un ciel serein.

Le vieux colose  turc sur l’Orient retombe,

La  Grèce  est libre et dans la tombe

Byron applaudit Navarin.

 

Salut donc, Albion, vieille reine des ondes!

Salut, aigle czars qui planes sur deux mondes!

Gloire  à nos fleurs de lys, dont l’éclat est si beau!

L’Angleterre aujourd’hui reconnait  sa rivale

A cet embrassement rallume son flambeau.

 

Je te retrouve Autriche! Oui, la voilà, c’est elle!

Non pas ici, mais là –dans la flotte infidèle.

Parmis les rangs chrétiens en vain on te cherchera.

Nous surprenons , honteuse et la tête penchée,

Ton aigle au double  front cachée,

Sous  la crinieres d’un pacha!

 

C’est bien ta place, Autriche! On te voyait naguère

Briller près d’Ibrahim , ce Tamerlan vulgaire:

 

Tu dépouillais les morts qu’il foulait en passant,

Tu l’admirais,mêlée aux  eunuques serviles

Promenant au hasard sa torche  dans les villes,

Horrible et n’éteignant le feu qu’avec  du sang.

 

Tu préférais  ces feux   aux clartés de l’aurore.

Aujourd’hui qu’ à  leur tour la flamme enfin dévore,

Ses noirs vaisseaux , vomis des ports égyptiens,

Rouvre les yeux , regarde, Autriche abâtardie!

Que dis-tu de cet incendie?

Est-il aussi beua que les siens?

 

 

 

                CONCLUSİON

 

                La pensée générale:

 

Vers la fin de XI e siecle, c’est-à- dire, dès la vue de l’éxistance des turcs en Anatolie orientale ,l’Europe a eu toujours une idée fixe  pour eux et elle a prit le partie de Byzance contre les turcs. Cette politique européenne , ou bien, cette politique du christianisme, a eu continué jusqu’aujourd’hui. Dans chaque époque de l’histoire , les états européens, La France, La Grande Bretagne, L’Autriche, La Russie et les autres, ont toujours supporté et sont  soutenus les divers peuples de toutes races dans chaque conflits internationales.Tandis que les Turcs  aussi sont des  peuples civilisés, modernes et contemporains.

 

Dans la période ottomane, de XIV e  au debut du XX e siecle, les vilayats de Balkans, c’est—à- dire, La  Grèce, La Boulgarie,La Serbie, La Homgrie et les autres, sont gouvernés  par toujours  les gouverneurs autochtones. İls y ont dirigé leurs vilayats au nom d’Istanboul. Le Vilayat de Tuna (Danoube), Boudin, Eflak et Bogdan, ou bien La Morée, Kırcaali, Tırnova…tous sont les vilayats ottomans dans la géographie de Balkan. La population des villes balkanique de l’ ottomane contenait une composition mêlés des turcs et des autres  peuples autochtones. c’est-à- dire, les musulmanes,  les chretiens  et les juifs vivaient tout ensemble. Selanik était un éxample tres démonstratifs  pour cette co-habitation.

La bataille de Navarin,  est un éxample tres démonstratifs des évenements  politics du XIX e siecle. La France, La Russie, L’Autriche et la Grande Bretagne ont attaqué la flotte ottomane encrées dans la baie de Navarin et ont detruit et ont brulé la flotte ottomane et celle de l’Egypte. C’est tres intéressant que les opinions publiques européennes  se réjouirent  de cette fin qui étatit un vrai désastre naval pour l’empire ottoman.

Lord Byron et Victor Hugo, tous les deux, réflechissent les opinions et les pensées  du peuples et celles des palais européns. Byron était arrivé à Morée en 1823 , pour supporter et encourager les combattants grècs. Hugo aussi, a écrit 41 poèmes, publiés à  Paris en 1829  sous  le nom “Les Orientales”  dont l’une est Navarin qui  contient  VII parts et 295 vers. Tous les deux poètes  ont applaudit les insurgés grècs.

Finalement, aujourd’hui, le peuple Turc et les peuples europeens  vivent en bone voisinage, dans la paix et dans les sentiments amicaux.  Entre eux, Il y a des bonnes relations économiques, culturelles et touristiques. Et même, à  l’avenir, ils viveront  sous le toit de l’Union Europeenne (EU).Les événements passés comme Navarin, se placeront dans les livres  d’histoire et dans les mémoires de l’humanité.

 

La Bibliographie

 

Ahmet Cevdet Paşa, Tarih-i Cevdet (12. Kitap), İstanbul 1301

 

Başbakanlık Osmanlı Arşivi Belgeleri (BOA,HAT-0773/36217 A-D ; HAT.849/38071-C;  HAT.1092/44317-A)

 

Hugo, Victor; Les Orientales, (Editeur: Alphonse Lemerre),Paris 1829

 

Karal, Enver Ziya; Osmanlı Tarihi (V. Cilt) TTK,  1988

 

Yılmaz, Durmuş; Osmanlı’nın Son Yüzyılı, Çizgi yayınları, Konya 2001

 

 

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